Houlà ! Je suis bluffé par la taille de la Triumph conçue sous le règne de Sir John Black: plus de 4 mètres de long. Et, My God  ! un tout petit 1776 cm³ à 4 cylindres pour propulser l’engin. Pour sûr, ma casquette ne s’envolera pas.

La plus grande curiosité de cet engin suranné, hormis ses lignes quelque peu torturées, vient de son « Dickey Seat », une ingénieuse banquette rangée dans la malle arrière. L’ancêtre du monospace en somme…

Au volant !

Ergonomie inexistante – on est en 1947 – avec un volant démesuré. Mal assis, jambes tendues mais coudes sur la poitrine. Heureusement le moteur est souple et les 63 percherons font ce qu’ils peuvent. J’atteins 80 km/h sur le 4ème rapport que j’ai mis environ trois jours à trouver. Ah, la direction est directe… mais elle manque de rappel et surtout de précision. Mais quelle importance ! Elisabeth Perkins m’attend pour prendre le thé et je chante du Glenn Miller. Cette auto fait passer le Prozac pour une camomille. Génial !

Ma cote: 6.5/10